Qui sommes-nous ?
TAMANA.
[Ta’mà’na]
adjectif • Qui se trouve bien là où il est et qui souhaite y rester le plus longtemps possible
TAMANA est une association humanitaire régie par la loi du 1er juillet 1901, reconnue d’intérêt général.
Fondée suite à une prise de conscience des défis auxquels font face les Malgaches, notre mission principale est de répondre à ces enjeux et d’accompagner la population vers un mode de vie plus sain, plaçant leur bien-être au cœur de nos préoccupations.
Après cinq ans d’expérience en ONG à Madagascar, Lisa LACROIX, s’est imprégnée de l’esprit malgache et a fondé TAMANA dans le but de prolonger et d’intensifier les actions humanitaires sur le terrain. Elle s’est entourée de personnes sensibilisées à la cause, dotées d’une expérience concrète à Madagascar, pour concrétiser les projets de TAMANA.
[TAMANA] : un adjectif porteur de sens en malgache qui exprime parfaitement notre ambition.
Nous aspirons à créer des cadres de vie propices à l’épanouissement où chacun se sente chez soi et souhaite y demeurer durablement, un lieu où règnent le bien-être et la plénitude et où l’apprentissage se nourrit continuellement.
TAMANA s’investit pleinement dans la concrétisation de projets humanitaires destinés à soutenir les populations les plus vulnérables. Guidés par une approche ancrée dans l’écoute et le dialogue avec les communautés, nous plaçons leur participation au cœur de notre démarche pour définir nos actions.
TAMANA incarne l’engagement à bâtir des environnements qui facilitent le quotidien, où chaque individu se sent accueillit et soutenu. Nous sommes convaincus que notre action contribuera à faire émerger un Madagascar où chacun peut s’épanouir pleinement.
TAMANA, c’est l’engagement envers un avenir meilleur, construit main dans la main avec ceux que nous accompagnons.
Améliorer le quotidien de la population malgache, c'est notre mission
Quelques statistiques
Madagascar, c’est…
Madagascar est la cinquième plus grande île du monde, située dans l’océan Indien au large des côtes de l’Afrique australe. Malgré des ressources naturelles considérables, sa population d’environ 28 millions d’habitants (2020) affiche l’un des taux de pauvreté les plus élevés au monde.
Avec un PIB par habitant de 517 USD en 2022, Madagascar fait partie des pays les moins avancés ; les inégalités sociales (plus de 80 % de la population vivent en dessous du seuil d’extrême pauvreté de 1,90 USD par jour) et géographiques (80 % de la population vivent en zone rurale, parfois très enclavée) sont prononcées.
Chiffres sur l’exode rural, appui sur la pertinence de notre prochain programme :
En 2022, 75,2 % de la population nationale était pauvre : 79,9 % dans les zones rurales et 55,5 % dans les zones urbaines. Alors que la pauvreté rurale a légèrement diminué au cours de la décennie, la pauvreté urbaine a connu une augmentation significative de 31,5 %. Cette augmentation a été particulièrement spectaculaire dans les villes secondaires, où la pauvreté est passée de 46 % à 61 %.
En 2022, 75,2% de la population malgache vivait en dessous du seuil de pauvreté national établi à 1 477 565 MGA (335,81 $) /personne/an. Le taux de pauvreté rurale reste très élevé (79,9 %), et la pauvreté urbaine a considérablement augmenté, passant de 42,2 % en 2012 à 55,5 % en 2022, en particulier dans les villes secondaires.
-> Pour inverser cette tendance, le rapport recommande plusieurs voies de changement, notamment l’amélioration de la productivité agricole, le renforcement de la connectivité et de la résilience des marchés, l’augmentation de la productivité des entreprises et de la qualité des services dans les zones urbaines, l’investissement dans un capital humain plus important et de meilleure qualité, l’augmentation de la résilience aux chocs et le renforcement des filets de sécurité sociale.